Nous avons tous vécus des difficultés qui peuvent faire obstacle à la joie.
Notre défunt Pape, François, nous arrive au début de son pontificat avec « la joie de l’Évangile ».
Dès le 1er chapitre de ton texte, il nous renvoie à l’Évangile de Luc, considéré comme l’évangile de la joie.
Il se désolait « qu’il y ait des chrétiens avec un air de Carême mais, sans la joie de Pâques »…
La société multiplie les occasions de plaisirs : nourriture, loisirs, consommation, mode, nouveautés, etc… mais qu’en est-il de la joie?
La vraie joie augmente quand elle est offerte à l’autre; elle diminue quand elle se vit dans l’isolement. Parfois il faut mettre nos habitudes de côtés au profit de l’occasion qui se présente à nous.
Une de mes sœurs m’a dit un jour : « Il ne faut pas bouder son plaisir… »
Partons avec le sourire et la joie au cœur et notre quête nous conduira à rencontrer le Christ dans les autres.
La liberté des enfants de Dieu est souhaitable à tous les âges de notre vie et nous oriente vers le bien, le bon, le beau, à voir et à communiquer aux autres,
Rachel Godbout
Agente de pastorale


